Sobriété affranchie de l’austérité des années ou le vent était glacial : les designers renouent avec les conquêtes. Que ce soit celle d’un quotidien plus serein, de la galaxie, ou tout simplement d’une femme libre. Le feu des passions brûle le podium : rouge incandescent, ou coupes drapés. À chaque créateur sa mise en texte de l’invasion. La jeunesse moscovite ne se rassemble plus dans l’ombre des bâtiments : elle s’affiche sur les podiums.
Pendant une semaine la mode se lit depuis Moscou
Lire le Docteur Jivago en allant à l’expo Kollektsia à Beaubourg: ambivalence des journées slaves.
Objectif Lune chez Julien Dalakian
Futurisme sous-couvert de manteau d’officier . Trench métallique : un défilé qui relais la tendance cosmique. Désormais dans la course à l’espace les frontières s’abattent: c’est l’espoir qui se lie dans la combinaison de paillettes et de cuir.
Le souvenir des ornements impériaux
Entre médiévale et ton futuriste: un défilé ou l’on peut lire l’aura d’Alexander McQueen. Une femme qui s’échappent de flammes et des inquisiteurs qui veulent la faire brûler. Les hologrammes fantasmagorique de Kate Moss qui s’érige dans le défilés McQueen reviennent à l’esprit. Un défilé spectacle qui témoigne de l’attention portée par les créateurs envers la mise en scène. Concevoir une collection , concevoir une histoire.
Les nuances de gris : décence espiègle
Nuances de gris et symbiose du masculin/ féminin.Les code des garde robes s’inspirent et se repousse dans une farandole de laine et de drapé de soie .Des silhouette monochrome, simple et efficace. Une Diane Keaton armée pour le froid.