Séance de rattrapages. Maintenant que la frénésie des défilés s’est achevée, on peut revenir tranquillement sur les meilleurs moments de cette Fashion Week. Retour en 10 min chrono.
Kate et Cara en petites tenues.
Egérie pour Burberry et Mango, la paire britannique a troublé Instagram…Soit-disant en froid, les deux modèles ont prouvé qu’il n’en était rien et partageant un shooting sexy. Comme quoi les images en disent parfois plus que des mots. Une polémique réglée avec l’humour-caractéristique de Cara- et sans bruit- caractéristique de Kate. Un beau coup de communication.
Les meilleurs fronts row : Burberry
Le défilés du prix LVMH : Thomas Tait
La serrure comme point d’entrée dans une collection. Plutôt logique: ainsi les jupes, haut de manches, ou vestes étaient perforés pour le défilé de Thomas Tait. Un mélange entre le look « Courrèges » et les ondes 60/70’s : du vinyle et des pièces tailorings. L’art tribal, le design industriel étaient également les thèmes fondateurs du designer pour élaborer sa collection. Travail sur les matières par des jeux de découpes et de brillance. Alors , à la hauteur du prix LVMH ?
Roots Londonienne : Vivienne Westwood red Label.
Toujours aussi punk dans l’âme, et on ne voudrait pas qu’il en soit autrement. Vivienne Westwood profite de son défilé red Label, pour envahir la semaine de la mode d’un flot de manifestants et de revendications. Couronne en papier colorée pour dire non à l’austérité et appeler à une révolution dans la politique environnementale. En ce qui concerne les pièces de cette gamme : toujours animés par une théâtralité (mais moins que pour la ligne principale de la créatrice) . Imprimés floraux, épaules dénudées, jupes et pantalon 3/4. Une collection assez conventionnelle pour cette femme hors-normes. Une désobéissance mesurée!
Des « It girl » en folie: De Poppy delevigne à Alexa chung et son nouveau carré.
Pendant la fashion week, les défilés ne se cantonnent pas au jour. La nuit recèle de belles surprises. Les soirées sont autant d’occasions de faire preuve d’un sens aigu des tendances. Les it-girls comme Poppy Delevigne, Alexa Chung (dont le nouveau carré signé George Northwood, était l’un des sujets brûlants de la semaine), ou encore Bella, Suki et Dree ont répondu présente à l’occasion de soirées au « LouLou » ou au Barzun’s pour le cocktail Vogue -dans la résidence officielle des ambassadeurs du Royaume-Unis et des Etats-Unis.
Le Défilé tout rose de Hill And Friends:
Un défilé qui a repeint de rose tous les comptes Instagram. Pour son show de lancement, la marque- crée par l’ancienne directrice artistique de Mulberry- a rassemblé rédactrices et célébrités autour de biscuits, milkshakes, brioches et smoothies roses. Le clou du spectacle : les deux mini-shetlands tenus en laisse par un jeune homme un uniforme : même Anna Wintour aurait souri.
L’inauguration de l’exposition « serie 3 » de Louis Vuitton
L’exposition dont tout le monde parle: Louis Vuitton Series 3. C’est à Londres avec du champagne et des cocktails que la foule s’est rassemblé. Mais l’intérêt n’était pas là. Non, il était dans quelque chose de beaucoup plus glamour, artistique, innovant mais en même temps de tout temps : les autocollants !!! Les invités devaient choisir un modèle pour leurs initiales ainsi qu’une pièce phare de la marque, avant de repartir avec leur photo, en compagnie de l’homme de la soirée, Nicolas Ghesquière. Un petit côté parc d’attraction !
Cressida Bonas : people meet royalties
Mannequin, actrice mais surtout ex du prince Harry, l’ancienne élève du Royal Ballet de Londres suscite toujours autant l’intérêt de la presse.
Le cri d’alarmes de Rosalie Nelson.
La mannequin a lancé une pétition à l’encontre des agences qui font travailler des mannequins dangereusement maigres. Elle-même victime de demandes excessives de la part de son agence, elle profite de la fashion week pour tirer la sonnette d’alarme et demande au gouvernement britannique de faire passer une loi pour garder les filles ayant une maigreur dangereuse pour leur santé, loin des podiums.
« Down to the Bone » , voilà ce que son agence lui aurait demandé. Portant un 36, la jeune fille perd tout de même 5 centimètres de tour de hanche, et cela ne suffit pas. Rosalie à déjà obtenue 56 000 signature sur les 75 OOO demandées. Affaire à suivre.
Happy Birthday Erdem !
Finissons sur une note joyeuse et optimiste ! Pour ses 10 ans la marque a offert un show avec une collection « sans-faute » pour beaucoup. Longue robes à volants, imprimés fleuries. On ressigne pour les 10 prochaines années.