Car c’est dans le détail que le chic se cache, dans le soin d’un ourlet que le charme s’exerce, dans la qualité d’une doublure que la magie opère. Les portefeuilles et portes cartes ne doivent pas dérober aux règles de l’exigence. Comble du chic, un portefeuille ou porte-carte démarque son propriétaire du commun.
Simple, sobre, se déjouant de toute excentricités ou frivolités, Dior Homme compose une nouvelle ligne de petite maroquinerie pour cet hiver. En veau noir ou bordeaux, ces modèles classiques sont comme des passes, marques de reconnaissance d’un club sophistiqué de gentleman. Sous le sceau du secret, seul quelques élus sont en mesure d’identifier la signature calligraphiée de M Christian Dior , apposée sur chaques pièces. Comme un talisman qui ouvre les portes d’une lieu dérobée. Les hommes les plus raffinés savent que ce n’est pas dans l’opulence que réside la sophistication, mais dans une pudeur qui ne dénigre pas la qualité.
La maison Christian Dior développe sa ligne masculine dès la fin des années 60, face à la demande croissante. Les hommes n’échappent pas aux règles de tendances, et sont en droit de disposé d’une gamme d’accessoire de qualité , tout comme les femmes. Les grandes maisons s’ouvrent de plus en plus à ce marché. D’abord avec des accessoires ( des cravates en ce qui concerne la maison Dior) puis des lignes haute couture, faire-valoir du savoir faire de ces grandes maisons de couture. Mais la mode ne se réduit pas à des costumes bien taillés, et s’étend à un mode de vie. Dans cette verve les ligne spécialisé se multiplient . Comme la ligne sportwear lancé par Dior dans les années 1970.
Le luxe s’étend , évolue , fait part à de nouvelle demande auxquelles la maison Dior prête toujours écoute , comme elle le démontre une fois de plus avec cette ligne de petite maroquinerie qui renoue avec le mythe des clubs de gentleman tout en investissent une modernité par l’utilisation de calligraphie bleu ou rouge. Une emprunte honneur aux racines de la maison qui se déjoue du logo habituel.