JOUR 4 : La mode comme une figure de style
Si certains créateurs jouent avec leurs invités et les plongent dans les pénombres de l’absurdité, c’est dans des palettes aux couleurs sombres et profondes que continue cette Fashion Week. Peu de lumière, pourtant des designers brillants d’inventivité . Après les jeu de ready-made D’Off-White, J.W.Anderson fait tourner en rond. Des cercles de rigueur pour plonger dans le ciel blue jean Dior.
La mode s’appelle Paris pendant une semaine.
2 où 3 choses à propos d’elle:
Les médias ont peur de ne rien comprendre à J.W.Anderson
J.W.Anderson joue avec les codes des défilés et des conventions. Une mise en scène de tout les discussions actuelles selon lesquelles la mode ne rime plus à rien. Du coup le créateur s’ammuse et balance des déclarations sans sens. Pour la presse le défilé n’a pas de thème prégnant- si le désordre ! Mais un désordre brillant pour une femme qui » collectionne les photographies et les orchidées » Got That ? –
Les femmes de l’ombre de Dior à Gauchère.
Le béret vu chez Wanda Nylon est de retour chez Dior. Celui -ci accompagne une garde robe en jean rigide. Ardeur militaire . Pendant la bataille les sacs se portent dans le dos, comme des sacoches à munition. Des femmes de l’arrière, des femmes oubliées. Chez GAUCHÈRE, Marie-Christine Statz déclare s’être inspirée « de femmes fortes », celle qui » travaillaient dans l’aviation pendant les années trente et quarante »
« Ces femmes ne vivaient sous la contraintes des différence liées aux genres. Le milieu était si masculin : cela imposait de ne pas avoir peur ».
Boucle d’oreilles hyperbolique chez Andrew G.N
Allure d’impératrice des grandes galaxies : les accessoires se confondent aux vêtements. Confluence des objets et confluences des cultures pour une invitation au voyage renouvelée.
Bonus : Bleu cosmique de Lutz Huelle
SIDE B
@manonrnlt0