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Pascal Morabito n’en ‘est pas a ses débuts en joaillerie. Inspiré d’éléments forts du design et de l’architecture, sa nouvelle collection est un six mains avec son fils Theo et sa femme, Marie Ève.
Il revisite les pièces clés de ses collections passées, notamment le concept de diamant libre, crée par ses soins dans les années 70.
C’est une véritable renaissance pour Pascal Morabito, tous les standards ont été retravailles de sorte a y ajouter un côté féminin, charmeur et mystérieux.
Les bijoux s’adressent aussi aux hommes dans un style un peu plus architecturé et avec des bijoux portés sur des cordons.
Le style est sans prise avec le temps, comme suspendu en apesanteur, a l’image de ce diamant gansé d’or et piège dans de la résine que l’on retrouve dans a de nombreuses reprises dans la collection de Pascal Morabito.
Les déclinaisons sont des bagues qui a l’origine comportaient des pierres précieuses qui sont,maintenant des semi précieuses, gardant l’ADN de la marque mais pour des budgets plus modestes.
L’idée des 3 dimensions, du cercle et de la rotation sont comme des obsessions chez Pascal Morabito, et il puise son inspiration dans l’équilibre et la structure atomique. Le cube est une forme récurrente, en argent, mêlé au noir
, c’est un des fils conducteurs, simple et efficace.
Les quadratures et la collection « cinétiques » consistent en des pendentifs sur ces thèmes, ou l’on retrouve perlés coincées dans des cubes, comme en captivité et les diamants libres dont j’ai parlé plus haut.
Les anneaux de Saturne sont des anneaux, des bagues donc, que l’ont peut empiler faites en résine de synthèse. Bagues toujours, la collection « les mystérieuses » faites donc de pierre semi-précieuses coincées dans de la résine, ne s’abîmant pas puisque polissable a l’infini.
Enfin l’homme, l’homme minimal, en transparence et diamant noir. Simple et efficace, ce qui semble être la devise de Pascal Morabito.
1 comment
C’est
« Teo Morabito » 😉
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