La chaise d’arbitre posée devant la boutique donnait un petit avant goût de Roland Garros et comme à Roland Garros c’était l’affluence des grands jours et mieux valait de ne pas arriver trop tard pour pouvoir découvrir la boutique dans de bonnes conditions et profiter du cocktail. Quelques branchés comme Benjamin Belin du site Say Who arborent le nœud papillon.
L’espace de 400 m² est vite bondé. La foule est rapidement aussi serrée qu’une finale opposant Nadal à Federrer. Au Photocall c’est le défilé des people et la grande bousculade à l’arrivée d’une nouvelle célébrité. Harry Roselmack, Camellia Jordana, Fabrice Santoro ou l’humoriste Patrick Timsit ont répondu présents. Nagui aveuglé par les crépitements des photographes s’esclaffe « au temps de la pellicule il y avait un laps de temps plus important entre deux flashs ». La journaliste Anne-Sophie Lapix ou encore Tony Gomez, le roi des nuits parisiennes, ont honoré l’invitation. Le footballeur Jérôme Alonzo est aussi de la partie et a revêtu une petite chemise à carreau de la marque.
Franck Knight, chroniqueur mondain de Technikart, en vieux routard des nuits parisiennes déserte les lieux assez rapidement. Le réalisateur Philipe Harel en posture houellebecquienne contemple les invités qui se pressent pour accéder au premier étage où l’on peut retrouver toute la gamme de la marque ce qui ravira les amateurs.
Pour prendre quelques bouffées d’oxygène, quelques invités ont trouvé la parade et se sont réfugiés dans le petit espace Lacoste Live situé au rez-de-chaussée. Une quinquagénaire BCBG lâche dans un souffle d’agacement « et dire que demain, il n’y aura personne dans la boutique». Happening de la soirée : un match de tennis qui se déroule sur la façade de l’immeuble avec des joueurs accrochés à des filins. On finit par quitter le nouveau Flagship de la marque au crocodile avec un polo blanc en cadeau.
Jeu, Set et Match…
Julien Tissot