La haute-couture répond désormais au prêt-à-porter. Qu’elle soit dans une combinaison de flanelle ou dans un écrin de brocart, l’attitude libre de la femme de Rabih se révèle.
Une osmose corporelle et paisible se tisse entre la femme et le vêtement. Du jour où elle s’approprie une simple blouse en popeline à la nuit où elle dévoile une précieuse relique sous le tulle de sa robe. De la rue où elle bascule son manteau en arrière laissant apparaître, dans une subtile exagération, une allure décontractée. De chez elle où elle noue une chemise d’homme à rayures sur un pantalon jogging. De ses ballades où des objets retrouvés, manipulés par le temps et le vent, se changent en or dans la chaleur d’une laine bouclée.
La haute-couture répond désormais au prêt-à-porter. Qu’elle soit dans une combinaison de flanelle ou dans un écrin de brocart, l’attitude libre de la femme de Rabih se révèle.
Cet hiver, la rencontre du bleu émanant d’une nuit profonde et de l’orange doré par une chaleur solaire se pose en douce harmonie sur le corps. Comme un voile. Simplement.
Les rues de Paris sont alors teintées d’Orient. Beyrouth est épris d’Occident. Les motifs colorés d’énergie s’unissent à la force discrète du kaki et de l’ocre. Et un dialogue se crée. Entre la construction d’une veste et le mouvement d’une matière.
Entre le féminin et le masculin. Entre le nouveau et l’ancien.
Par l’alliance d’un savoir-faire exigeant et d’une humanité absolue, Maison Rabih Kayrouz propose des vêtements aux femmes qui l’aiment. Un manifeste pour que, deux fois par an, naisse cette intime relation entre l’univers de Rabih et la femme.