Il faut croire que non ! La plateforme de shopping en ligne Twenga a lancé le 19 mai dernier une étude comparative concernant le port du maillot de bain (sujet crucial en cette période de l’année, n’est-ce pas?). La cible : françaises VS petites anglaises…
A partir de cette info, arrêtons-nous deux minutes pour réfléchir sérieusement…Les anglaises ? On parle bien de ces warriors du style qui n’hésitent pas à arborer fièrement l’improbable duo « t-shirt/legging sans jupe » même en plein mois de mars ? Ces chanceuses issues de la même patrie qu’une certaine Kate Moss ? Celles qui ont les kilomètres d’Oxford Street pour se sapper ? Top Shop, Miss Selfridge’s, Primark ?!?(Ok, Primark n’est peut-être pas le meilleur exemple, mais quand même, vous imaginez le nombre de maillots qui se vendent à la minute, chez Primark ?!?)
Là, tout de suite, défaitistes, on pense : on est grillées d’avance.
Et bien en fait, non.
L’étude a révélé le top trois des maillots préférés de la française des plages, qui est (tada, roulement de tambours) :
1 : le bikini rouge (ah heum, sexy)
2 : le trikini noir (le maillot une pièce faux-jetons qui essaye de se faire passer pour un bikini).
3 : le tankini noir (le « tankini », qu’est-ce que c’est que ça ? ça se mange ???).
Def. « tankini » : Nom commun. Genre : masc. Plur. : tankinis.
/tɑ̃.ki.ni/
(Vêtement) Maillot de bain composé d’un slip et d’un maillot style débardeur.
Voilà de quoi éclairer ma/vos/nos lanterne(s) fashionement parlant inculte(s) (merci Wikipédia). Le tankini serait donc (la providentielle) alternative au maillot deux pièces pour les (mal)heureuses propritétaires d’une petite bouée naturelle qui en ont marre du traditionnel « une pièce mamie ».
Tendance dénudée donc sur les jolies côtes françaises (je parle des bords de mer) quand de l’autre côté de la Manche les baigneuses se planquent derrière des :
– maillots-jupes (!)
– robes de plages (! bis)
– monokinis (!?)
Et ben alors, que pasa, les filles ?
Bonnes joueuses, nous, petites veinardes nées du bon côté de la mer (dans ce cas précis, et celà n’ayant rien à voir avec un quelconque sentiment de jalousie né à l’évocation des avantages des modeuses londoniennes) admettrons honnètement que, si l’enquête à été réalisée à Cannes en plein festival, elle ne compte pas.
On s’en tiendra simplement à la conclusion (collective) suivante : peu importe le maillot, pourvu qu’on ait l’ivresse (ici, ivresse : bronzage impeccable et sans marques dans tous les sens). Et par-dessus tout : qu’on se sente bien dedans. CQFD.
Quelques mots sur Twenga :
« Twenga est la plateforme de shopping ouverte qui offre le plus grand choix du web. Grâce à sa technologie propriétaire, Twenga rassemble automatiquement sur ses
sites tous les marchands, tous les produits et tous les prix les plus bas du web.
Fondée en 2006 par Bastien Duclaux et Cédric Anès, Twenga est une entreprise basée à Paris. Ses 15 sites en France [et dans le monde entier] proposent aujourd’hui plus de 370 millions d’offres venant de plus de 180 000 boutiques en ligne.
Les sites de Twenga ont reçu 45 millions de visites en Novembre 2010. Cette même année, Twenga a reçu le prix Red Herring 100 Global, le prix du Jeune Dirigeant de la Technologie, et le prix Ernst & Young de l’Entrepreneur de l’Année dans la
catégorie Entreprise d’Avenir.
Site internet : www.twenga.fr /
Déborah Bannwarth