C’est au coeur D’Oberkampf, dans un espace fait de moulures et verrières que l’on déguste le meilleur de la nourriture Italienne, mais sans la moindre prétention. Pas besoin de ranger ta casquette, et de camoufler tes tatouages sous un polo col relevé pour rentrer.
C’est dans un esprit « cantine de pote , faite par des potes , pour des potes », qu’a ouvert en avril dernier le restaurant Big Mamma près de Bastille. Succès immédiat : on en redemande. Alors Tigrane Seydoux, et Victor Lugger, passionnés de gastronomie Italienne et dont les CV sont pavés de grand nom, proposent un endroit pour boire un verre dans la rue de la soif.
Si le restaurant East Mamma ne désemplit pas, c’est que son principe de transparence et de qualité remplit toutes les demandes. C’est dans le même esprit que l’entreprise continue et propose des cocktails originaux, fait avec de produits frais, venus tout droit d’Italie. A se demander s’il n’y a pas une porte express d’accès direct à l’Italie dans le 11iéme arrondissement.
Pour l’apéritif, on souscrit à la formule Apéritivo. Pour embrayer vos soirées d’été, et ce dès 18H, Obermama met en scène les créations originales de Nicola Battafarano , à déguster avec des produits italiens.
L’esprit Obermama ce n’est pas une énième pizza, pâtes fraîches au pesto, ou gnocchis aux parmesans. C’est différent. Réactualisant l’imaginaire autour de la cuisine Italienne, l’ambition du restaurant est de mettre à mal les préjugés sur les manières de faire de la cuisine, de conjurer le sort et prouver que l’on peut conjuguer authenticité et qualité sans perdre son flegme.
Si les produits se suffisent à eux-même, c’est qu’ils sont directement importé d’ Italie. Principe maître de ce restaurant, la célébration d’un savoir particulier se fait à partir d’aliments dont les producteurs sont des personnes de confiance. A l’heure ou une politique de la transparence est exigé envers nos dirigeants, Big Mamma prend les devants: dans un restaurant aussi, rien ne devrait être caché. Ne pas chercher à tromper le consommateur: dans le pays de la gastronomie cela devait être de rigueur. Alors quand on propose des repas Italiens, il semble tout à fait logiques de s’emparer de son Vespa pour aller recueillir au coeur de ce berceau de la civilisation occidentale, le meilleur de ses produits.
Valoriser dans un espace décoré par Alexander Watherwoth, le londonien qui monte, les produit Italiens , cuisinés maison, deviennent objet de tous les désirs. Mais pas besoin de » rouler sur l’or »: tout est abordable. Parce que mangé bien et frais ne devrait pas signifier « mettre la main au porte-monnaie ». En route vers une mozzarella di bufala frite à l’huile d’olive, une Mamma’s caesar salad, des fusilli veggie, ou encore un navarin de poulpe !
#OberMamma