La Dior VIII Montaigne Acier et Nacre – disponible en Juillet :
Le 8 : un chiffre magique pour Christian Dior, évoquant tour à tour le 8 octobre 1946, jour de l’ouverture de sa Maison ; son adresse avenue Montaigne, dans le VIIIe arrondissement parisien ; « En Huit », le nom de sa première collection. C’est naturellement que la première montre en céramique imaginée par Dior en a reçu, en plus du nom du créateur, ces quatre caractères d’une évidente simplicité : VIII.
La mini D de Dior – disponible en Avril
En acier, diamants, nacre et cuir, la mini D de Dior est un véritable accessoire de mode. Son bracelet doré donne de l’éclat et son cadran en nacre noire sort de l’ordinaire. Les diamants l’entourent d’une lumière inégalable.
Chiffre Rouge – Disponible en Mars
Véritable chronographe automatique certifié COSC, en acier brossé et alligator noir, la « Chiffre Rouge » ravira les connaisseurs. Avec la classe et l’élégance de Dior, cette montre se veut efficace et indémodable !
Dior Grand soir numéro 28 Origami
Pureté des lignes, netteté des coupes : depuis sa création, Dior n’a jamais cessé de dialoguer avec le Japon. Des volumes à la féminité révolutionnaire du tailleur « Bar » aux premières collections de Raf Simons, l’élégance épurée de la Maison de l’avenue Montaigne, son goût pour les jeux subtils de volumes, d’angles et de tombés ne cessent de résonner avec l’art et l’esprit de l’archipel nippon.
En 2014, la montre Dior Grand Soir « Origami » vient saluer cette relation intime en célébrant l’un des arts les plus délicats du pays du soleil levant : celui de l’origami. Vieux de plus de deux millénaires, cet art du pliage du papier s’est imposé comme l’une des références absolues de la créativité japonaise, dont les déclinaisons multiples se sont imposées dans la plupart des domaines, du design à la mode en passant par l’art contemporain.
Avec la Dior Grand Soir « Origami », Dior interprète cette esthétique et ce savoir-faire sur les cadrans d’un garde-temps de 33 mm de diamètre. Ces cadrans en marqueterie de nacre ont été travaillés en trois dimensions, offrant un effet d’optique, que vient renforcer la taille en triangle ou en baguette-hélice des pierres précieuses qui ornent les lunettes : saphirs, grenats tsavorites, grenats spessartites et diamants.
Si le Japon est bel est bien là, dans l’équilibre minutieusement pensé des formes et des volumes, la Dior Grand Soir « Origami » évoque également l’habilité des mains des couturières des ateliers de l’avenue Montaigne, expertes dans l’art du pliage des étoffes et des tissus, ici saluée par l’assemblage du cuir verni et du satin sur les bracelets de la collection.
Jonglant avec la pureté des lignes et la préciosité des pierres, la Dior Grand Soir « Origami » est proposée en cinq pièces uniques.