BENEDICT CUMBERBATCH PORTE LA MONTRE REVERSO TRIBUTE NONANTIEME DE JAEGER-LECOULTRE AVEC ELEGANCE.
L’acteur britannique Benedict Cumberbatch, ami de longue date de la maison Jaeger-LeCoultre, a récemment participé à une séance photo pour marquer le lancement de la montre Reverso Tribute Nonantième en édition limitée.
Le recto de la montre est d’une élégance classique – affichant l’heure, les phases de la lune et la date – sans laisser deviner la surprise du verso. En retournant le boîtier, on découvre un visage radicalement différent, avec un affichage numérique des heures et un indicateur jour-nuit d’une précision exquise.
En tant qu’acteur, Cumberbatch est une sorte de caméléon, prouvant sa polyvalence et son talent en acceptant des rôles très différents. Cependant, dans son style personnel, il est remarquablement cohérent. En tant que modèle de gentleman moderne, Cumberbatch privilégie les costumes bien coupés avec une grande attention aux détails et à la coupe – un style raffiné qui attire rarement l’attention. Il accessoirise discrètement les classiques intemporels de manière décontractée et accessible, ce qui se reflète dans les montres qu’il choisit de porter.
« Je suis fasciné par les montres mécaniquement complexes, mais pour moi, la montre parfaite est discrète, élégante et pragmatique », déclare Benedict Cumberbatch. La Reverso Tribute Nonantième est si spéciale car le recto est vraiment discret mais le verso est complexe et spectaculaire. Je peux la garder cachée pour mon propre plaisir ou la montrer quand je le souhaite. » Cette montre exprime magnifiquement le souci du détail et le savoir-faire artisanal qui caractérisent Jaeger-LeCoultre. Au verso, un disque laqué d’un bleu vif a été parsemé de minuscules étoiles dorées pour représenter le ciel nocturne, et en le traversant, une lune et un soleil gravés à la main indiquent la nuit et le jour.
« Ce qui me fascine le plus lorsque je visite la manufacture Jaeger-LeCoultre, c’est l’héritage des compétences des artisans qui y ont travaillé toute leur vie », affirme Benedict Cumberbatch. « La dextérité du travail manuel que j’avais imaginé être effectué par une machine ou un ordinateur: je n’en reviens pas ! ».