Lancôme s’associe avec le Muséum national d’Histoire naturelle pour contribuer à la préservation de la biodiversité et à la conservation d’espèces végétales en voie de disparition.
Vue du Jardin des Plantes avec la Grande Galerie de l’Evolution © MNHN – F.-G. Grandin
Lancôme s’associe avec le Muséum national d’Histoire naturelle (France) au travers d’un partenariat visant à conserver des espèces végétales en voie de disparition, dans le cadre de son programme de développement durable « Ensemble, prenons soin de notre avenir » (Caring together for a happier tomorrow). Lancôme s’engage à contribuer à la protection de la biodiversité pour les générations à venir et va apporter son soutien au Muséum pour la conservation de la biodiversité végétale.
« Nous sommes fiers de contribuer à la conservation d’espèces végétales en voie de disparition comme la Rose de France (Rosa gallica) grâce à ce partenariat avec le Muséum national d’Histoire naturelle dont le rayonnement international est reconnu. Le Muséum est une institution de premier plan en matière de recherche et d’expertise dans le domaine de la protection de la biodiversité et nous sommes heureux de nous associer à cette importante mission qui répond aux engagements de la France pour la Convention sur la Diversité biologique des Nations unies. La protection de la biodiversité constitue un axe majeur de notre programme de développement durable. La marque mène déjà cette mission à Grasse et à Valensole, où Lancôme cultive des roses et une variété d’espèces végétales de manière biologique et durable » – Françoise Lehmann, Directrice Générale Lancôme International.
Porté par le Muséum et mis en œuvre par le Conservatoire botanique national du Bassin parisien (CBNBP), ce projet de conservation se déploie sur les territoires d’agrément du CBNBP (Centre-Val de Loire, Île-de-France, régions ex-Bourgogne et ex-Champagne-Ardenne) où il va renforcer ou réintroduire en milieu naturel des espèces végétales menacées de disparition, grâce aux graines collectées et placées en banque de semences, à la multiplication des plantes en jardin expérimental, et gérer et restaurer les habitats qui les accueillent. Cet objectif, déclinaison de l’objectif 8 de la Stratégie Mondiale de Conservation des Plantes, vise à pallier d’éventuelles effondrements ou disparitions de populations, pour intervenir en milieu naturel en procédant à des renforcements ou des réintroductions de populations.
Parmi ces espèces menacées de disparition, une attention particulière sera portée à la Rose de France (Rosa gallica). Pour une marque dont l’emblème est la rose depuis plus de 85 ans, contribuer à la protection de cette fleur précieuse et subtile, d’une variété unique et au parfum exceptionnel, était une évidence pour Lancôme. En plus de la Rose de France, une multitude d’autres espèces végétales sont incluses dans ce projet de conservation, notamment : Arnica montana, campanula cervicaria, inula hirta, ranunculus hederaceus ou encore viscaria vulgaris.
Le programme permettra de collecter en moyenne une quinzaine d’espèces par an dans chaque territoire, soit 45 espèces sur l’ensemble du programme pour chaque région, et 180 lots de semences au total.
Ce partenariat avec le Muséum national d’Histoire naturelle s’inscrit dans le cadre du programme de développement durable de Lancôme « Ensemble, prenons soin de notre avenir », lancé le 22 mars 2021, au travers duquel la marque renforce ses engagements et ambitions en matière de développement durable et d’inclusion sociale.
Rosa Gallica © MNHN – Agnès Iatzoura