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L’Heure du Diamant de Chopard

by pascal iakovou
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Chopard capture un instant enchanteur

Inscrite dans une conception jeune et innovante du luxe , L’Heure du Diamant fait revivre l’esprit des années 1960 et souligne la maîtrise inégalée de Chopard tant dans l’art de la joaillerie que dans celui de l’horlogerie artisanale. Hommage à l’intemporelle quête de contemporanéité de la Maison, L’Heure du Diamant crée un instant enchanteur et nouveau grâce à huit nouvelles montres joaillières en diamants et cadrans de pierres dures. En faisant revivre le modernisme des années 1960 et en célébrant cinquante années de maitrise dans la fabrication de montres joaillières à cadran en pierres dures, Chopard scelle une alliance parfaite entre art et artisanat, art et science, tradition et modernité.

Chopard, l’Artisan des Emotions, s’est taillée au fil des années une place de maitre de la modernité dans les mondes de l’horlogerie et de la bijouterie, pourtant fermement ancrés dans la tradition. Forte d’un solide héritage familial et d’un riche patrimoine horloger, la Maison est toujours prête à oser pour stimuler l’innovation et l’ingéniosité, dans le design comme dans l’artisanat, tant en joaillerie qu’en horlogerie. Manufacture indépendante cultivant en symbiose ces deux passions, ces deux domaines d’expertise que sont les montres et les bijoux, Chopard a toujours été réputée pour sa maîtrise de la montre joaillière: des bijoux qui incarnent la nature précieuse du temps.  

C’est ainsi qu’en 1969, à l’heure des mutations sociales, culturelles et artistiques – alors que la joaillerie réclame une toute nouvelle expression, un nouvel engouement et une nouvelle pertinence pour une clientèle jeune et avant-gardiste, Chopard lance une collection de montres-bijoux d’une modernité saisissante. Leurs cadrans se parent de minéraux et de pierres dures, tels que le lapis-lazuli, la malachite, le jade ou l’œil de tigre, qui ont marqué les bijoux de la fin des années 1960 et des années 1970, rehaussés de diamants et sertis sur des bracelets texturés en or blanc, autre signature des années 1970.  

L’esquisse d’une nouvelle ère horlogère

Aujourd’hui, quelques cinquante années plus tard, et toujours avec une longueur d’avance, Chopard présente au sein de sa collection L’Heure du Diamant huit nouveaux garde-temps inspirés de ses modèles originels de 1969. Ils offrent une déclinaison moderne de l’esthétique de ces archives iconiques, une harmonisation de leur raffinement, de leurs proportions, de leurs couleurs et de leurs textures. Tout ceci dans le but de créer une sublime montre-bijou en lien avec notre époque qui vibre toujours au rythme unique du modernisme des années 1960. Un garde-temps qui concilie Haute Horlogerie et Haute Joaillerie de manière naturelle et élégante, mettant en valeur le double savoir-faire qui fait l’essence même de Chopard. 

Chacune de ces huit montres est dotée d’un cadran spécialement taillé dans un minéral au charme envoûtant : lapis-lazuli bleu nuit aux reflets dorés ; malachite verte et veloutée tourbillonnant de stries ; turquoise vive et ensoleillée ; opale noire sombre et spectaculaire, avec ses éclats de feu vert et rouge intense. Les couleurs profondes, vibrantes et émouvantes des cadrans sont ornées de diamants dont la taille généreuse confère une élégante touche de modernité. Au final, ce sont plus de 4 carats créant un contraste saisissant entre brillance et éclat, entre la texture, l’opacité ou la profondeur brillante des cadrans et l’éclat des diamants – dont le feu et la vitalité sont intensifiés par la pureté du serti « couronne » de Chopard.  

La Maison propose ces montres-bijoux sur des bracelets en alligator aux couleurs riches et assorties aux cadrans ou sur un bracelet en or blanc 18 carats. Ce dernier est texturé à la façon d’une authentique écorce d’arbre selon la mode des années 1960, mais avec la finesse supplémentaire d’une finition spéciale et exclusive à Chopard qui assure à l’or un toucher soyeux. Lové contre la peau, le bracelet  ne se coince pas et ne s’accroche pas sur un tissu. Cette technique, mise au point par la famille Scheufele dans les années 1960, consiste à graver à la main l’or qui est ensuite fixé sur la structure du bracelet de la montre, assurant ainsi confort, souplesse et fluidité. Relevant à la fois du design et de l’artisanat, ce bracelet de montre évoque avec force les bijoux des années 1960 et 1970, tout en restant très en phase avec les tendances naturalistes actuelles.

Enfin, les montres sont équipées du calibre automatique 09.01-C, avec 42 heures de réserve de marche, un mouvement mécanique entièrement conçu, fabriqué et assemblé par les artisans Chopard. Le subtil équilibre entre art joaillier et savoir horloger permet ainsi à L’Heure du Diamant d’allier intelligence et beauté – offrant l’expression parfaite de la féminité d’aujourd’hui. 

Les années soixante et la révolution joaillière 

L’esprit rebelle et émancipé de la fin des années 1960 a apporté une nouvelle vague de modernisme dans le monde de la joaillerie : un mouvement de design entièrement nouveau, spectaculaire et dynamique qui a défié les traditions et incarné l’hédonisme, les bouleversements sociaux des années 1960 et 1970 – une époque de culture disruptive, tout comme celle d’aujourd’hui. Une nouvelle clientèle, plus jeune, très sensible à la mode et à l’art, souvent engagée dans les filières créatives, recherche alors des bijoux opulents, d’un haut degré de finition mais pourtant informels et vibrants. Des bijoux adaptés à la liberté nouvelle de leurs modes de vie, qui représenteraient une rupture radicale avec le passé et l’étiquette sociale stricte et contraignante des années 1950. Une rupture également avec les connotations d’élitisme longtemps associé à la joaillerie, grâce à des bijoux qui contesteraient les idées reçues sur la préciosité, qui enfreindraient les règles établies.  Le nouveau style de modernisme libre qui a émergé – largement issu de Londres, épicentre de la décennie swing – n’est rien moins qu’une révolution. Il se caractérise par l’utilisation de matériaux inattendus, souvent négligés, plus démocratiques, notamment des cristaux bruts, des pierres dures et des minéraux – du lapis-lazuli, de l’œil de tigre, de l’onyx, de la malachite – ainsi que des matériaux organiques tels que le corail et l’ivoire. Ces matériaux sont savamment associés à de l’or texturé, gravé et travaillé pour recréer une apparence organique, évoquant l’écorce des arbres ; ou alors en cette époque de voyage spatial futuriste, des formes libres et en fusion, comme la surface de la lune ponctuée de cratères.  

La montre joaillière s’est épanouie dans ce climat de nouveauté passionnante, devenant un art à part entière : un bijou pratique rendu fabuleusement luxueux, en harmonie avec l’esprit révolutionnaire du style, mais également transformé en emblème audacieux et aventureux d’une nouvelle génération de femmes actives en quête de bijoux pouvant exprimer à la fois leur personnalité et leur liberté. 

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