1,6K
Dior dévoile la campagne de la collection prêt-à-porter automne-hiver 2019-2020 de Maria Grazia Chiuri, inspirée de l’élégance rebelle et de l’audace créative des Teddy Girls, homologues féminins des Teddy Boys, symboles de la contre-culture anglaise.
Devant l’objectif de Brigitte Niedermair, les mannequins Selena Forrest et Ruth Bell incarnentl’esprit engagé de ces créations. A l’occasion de sa première campagne pour la Maison, la photographe italienne – dont les mises en scène à la puissance graphique donnent vie à de fascinants détournements -, a imaginé un dialogue artistique entre passé et présent, figuratif et art de l’épure. Son regard contemporain sublime, à travers un jeu de courbes
et d’abstractions, les icônes du style Dior.
Véritable ode à la sororité, cette série de clichés trace les contours d’une féminité affirmée, à l’image des T-shirts sérigraphiés Sisterhood is Global et Sisterhood is Powerful
qui rendent hommage aux œuvres littéraires de la poétesse féministe américaine Robin Morgan. Tel un écho moderne aux années 1950 et à la silhouette du New Look , la veste Bar a été redessinée selon une ligne plus masculine, soulignée par des ceintures évoquant les courbes emblématiques du sac Saddle.
Ce dernier, décliné en denim ponctué du motif Dior Oblique, se dévoile aux côtés du Dior Book Tote et du Diorcamp, tous deux habillés de vichy, de l’iconique Lady Dior , revisité en cuir mat, ainsi que du nouvel incontournable de la Maison, le sac
30 Montaigne , présenté dans une version inédite en cuir d’agneau froissé, à l’effet vintage.
Étendard de la culture britannique chère à Christian Dior, le tartan rencontre la toile de Jouy et le léopard, codes fétiches du couturier-fondateur. Un manifeste de l’élégance selon Dior, scandé de précieux accessoires à l’esprit couture, où les escarpins et les bottines, à petit talon, les perles et les lunettes de soleil ourlées de cristaux, côtoient les bobs à voilette réversibles créés par Stephen Jones, le chapelier britannique de la Maison
« Sisterhood Is Global », « Sisterhood Is Powerful ». Incarnations d’une sororité puissante, libre et audacieuse, les mannequins Selena Forrest et Ruth Bell se révèlent devant l’objectif de Brigitte Niedermair. Cette campagne capture l’essence de la collection prêt-à-porter automne-hiver 2019-2020 imaginée par Maria Grazia Chiuri, dont les héroïnes sont les Teddy Girls, ces belles rebelles, icônes des années 1950.
Dior dévoile la campagne de la collection prêt-à-porter automne-hiver 2019-2020 de Maria Grazia Chiuri, inspirée de l’élégance rebelle et de l’audace créative des Teddy Girls, homologues féminins des Teddy Boys, symboles de la contre-culture anglaise.
Devant l’objectif de Brigitte Niedermair, les mannequins Selena Forrest et Ruth Bell incarnentl’esprit engagé de ces créations. A l’occasion de sa première campagne pour la Maison, la photographe italienne – dont les mises en scène à la puissance graphique donnent vie à de fascinants détournements -, a imaginé un dialogue artistique entre passé et présent, figuratif et art de l’épure. Son regard contemporain sublime, à travers un jeu de courbes
et d’abstractions, les icônes du style Dior.
Véritable ode à la sororité, cette série de clichés trace les contours d’une féminité affirmée, à l’image des T-shirts sérigraphiés Sisterhood is Global et Sisterhood is Powerful
qui rendent hommage aux œuvres littéraires de la poétesse féministe américaine Robin Morgan. Tel un écho moderne aux années 1950 et à la silhouette du New Look , la veste Bar a été redessinée selon une ligne plus masculine, soulignée par des ceintures évoquant les courbes emblématiques du sac Saddle.
Ce dernier, décliné en denim ponctué du motif Dior Oblique, se dévoile aux côtés du Dior Book Tote et du Diorcamp, tous deux habillés de vichy, de l’iconique Lady Dior , revisité en cuir mat, ainsi que du nouvel incontournable de la Maison, le sac
30 Montaigne , présenté dans une version inédite en cuir d’agneau froissé, à l’effet vintage.
Étendard de la culture britannique chère à Christian Dior, le tartan rencontre la toile de Jouy et le léopard, codes fétiches du couturier-fondateur. Un manifeste de l’élégance selon Dior, scandé de précieux accessoires à l’esprit couture, où les escarpins et les bottines, à petit talon, les perles et les lunettes de soleil ourlées de cristaux, côtoient les bobs à voilette réversibles créés par Stephen Jones, le chapelier britannique de la Maison