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The Droplet dévoilé à Paris en septembre à la Monnaie de Paris

by pascal iakovou
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« THE DROPLET » un pavillon itinérant sur le thème de l’eau explore la conscience écologique à travers l’art

Dans le cadre de l’exposition AD INTERIEURS 2017 qui se tiendra à l’Hôtel de la Monnaie à Paris du 6 au 20 septembre 2017, the Harmonist présente « The Droplet », un pavillon itinérant imaginé par l’artiste plasticien Marcos Lutyens.
Initié et suivi par la philanthrope Lola Karimova-Tillyaeva, ce projet a été réalisé avec le soutien de The Harmonist dont Monsieur Segundo Broggi est le Directeur Général.
À travers cette création inédite, The Harmonist entraîne le visiteur dans un « voyage immobile » en harmonie avec l’eau, l’un des cinq éléments du Feng Shui, philosophie chinoise millénaire, clef du vocabulaire olfactif de la marque.

Un projet itinérant

Projet centré sur l’environnement, « The Droplet », adopte la forme délibérément poétique d’une goutte géante pour aborder la question de l’eau, enjeu majeur de ce siècle, et susciter réflexions et débats autour du sujet. « The Droplet » a pour vocation d’éveiller les consciences et d’inciter chacun à agir.
Devenue un problème crucial et planétaire, la préservation de l’eau est mise à mal par la pollution, comme par le réchauffement climatique dont l’impact sur l’environnement et les équilibres géopolitiques constitue une menace et une urgence absolue.
Conçu et réalisé par Marcos Lutyens pour The Harmonist, ce pavillon circulera pendant deux ans dans différentes villes du monde choisies en fonction de leurs relations spécifiques à l’eau.
Il est le premier volet d’un projet prévu sur 10 ans, au cours desquels The Harmonist soutiendra tous les deux ans un nouveau projet artistique lié aux 5 éléments du Feng Shui.

Une installation immersive

Installation immersive « The Droplet » propose au spectateur une expérience multi-sensorielle, à la fois visuelle, auditive, tactile et olfactive. Cette approche sensible et perceptive conjugue son caractère onirique à une prise de position en faveur de la protection de l’eau et du climat.
Tandis que l’on pénètre à l’intérieur de cette goutte monumentale, une structure en tube d’aluminium de 12 mètres de haut et 6 mètres de circonférence, dont les contours sont délimités par une fine brume de gouttelettes, une bande son en lien avec le lieu d’exposition donne à entendre le bruit de l’eau et des voix relatant dans la langue locale histoires et mythes relatif à cet élément : à Paris il s’agira de l’usage de l’eau au cur de la cité au cours des siècles, notamment durant la Révolution Industrielle prélude à la lente destruction de l’environnement.

Installé sur l’un des quatre bancs implantés à l’intérieur du pavillon le visiteur découvre une uvre contemplative, voire méditative, qui le confronte à ses sensations et émotions l’invitant à questionner son rapport à l’eau, point focal de l’installation.
Mêlée au son, et à cette fine brumisation, une odeur flotte dans l’air, élaborée avec l’Institute of Art and Olfaction de Los Angeles, elle est différente dans chaque ville… À l’Hôtel de la Monnaie, le visiteur pourra sentir l’odeur du fleuve tout proche, du métal à partir duquel on frappe pièces et médailles, du feu et des marchés du quartier.

La bande son de « The Droplet » se compose d’une superposition de rencontres temporelles s’étendant sur les 1153 années d’activités de La Monnaie de Paris.
Le son est diffusé à travers 15 hauts parleurs.

Des enjeux environnementaux et éducatifs

Au coeur de la réflexion mise en exergue à travers ce projet d’envergure internationale autour du développement durable, de l’écologie et de l’avenir de la planète, « The Droplet » se situe à la croisée entre art, sciences, politique, économie.
Le propos s’enrichit à chaque nouvelle étape de l’itinérance par le biais d’un ambitieux programme de conférences au cours desquelles scientifiques, personnalités défendant les questions climatiques et artistes sont invités à s’exprimer.
À travers « The Droplet », The Harmonist soutient également le programme d’éducation alternatif ARTWORX-LA, conçu pour lutter contre le décrochage scolaire dans l’enseignement secondaire. Ce programme fondé sur l’approche des arts, a pour vocation d’ouvrir d’autres voies possibles aux élèves.
Dans ce cadre, 5 élèves du programme ARTWORX-LA se sont vus confier une carte blanche pour imaginer des citations sur le thème du changement climatique ainsi que sur l’importance de la préservation de l’eau. Ces citations dont ils assurent également le design seront gravées sur les bancs à l’intérieur du pavillon.
Les témoignages d’éminents scientifiques et experts du climat seront également partagés avec le public, Peter Gleick, Omar Yaghi, Phil Jones and Yasmin Siddiqi.

À propos de l’artiste
Depuis la fin des années 1980, Marcos Luytens (né à Londres en 1964) développe une réflexion sur les processus et mécanismes de l’esprit, multipliant les approches et les moyens et utilisant régulièrement la pratique de l’hypnose lors de ses performances. Ses expositions et interventions témoignent de ses recherches autour des notions de conscience et de dynamique sociale. Menant des projets de grande envergure impliquant un large public il a notamment travaillé sur le suivi de données, les interactions piétonnes, la pollution et la qualité de l’air, le contrôle de l’activité cérébrale, la communication animale… À la soudure entre art, sciences, recherche fondamentale et sociologie, son oeuvre accorde une grande place à l’approche expérimentale. Ainsi en 2012 il menait durant 100 jours quelques 340 séances d’hypnose dans le cadre de la Documenta 13 à Kassel, performance au long cours et immersion dans les manifestations cérébrales relatées dans un livre « Memoirs of a Hypnotist-100 days », éditions Sternberg (2015).
Très présent sur la scène internationale, Marc Luytens qui vit et travaille à Los Angeles a fait l’objet de nombreuses expositions personnelles et collectives, notamment dans le cadre de Documenta 13 (Kassel), de la 54ème Biennale d’Art Contemporain de Venise, de la Biennale de Liverpool 2016, de la 14éme Biennale d’Istanbul, ainsi qu’au Los Angeles County Museum of Art, au Centre Georges Pompidou (Paris 2014), à la Royal Academy (Londres 2010), au MOMA (New York 2014), au Guggenheim Museum (New-York 2017), The Armory (New-York 2017) parmi tant d’autres.

Acteur clé de la réalisation, « The Droplet » a été fabriquée par Scott Froschauer, habitué à relever le défi de constructions architecturales ou artistiques (sculpture) complexes.

Merci à la Galerie Alberta Pane et à Séverine Bader.

The Harmonist

Un concept novateur
Nouvelle venue dans l’univers des maisons de parfums françaises, The Harmonist a ouvert sa première boutique à Paris en 2016, suivie par une seconde boutique à Los Angeles cette même année.
Contraction des termes harmonie et alchimiste, The Harmonist s’inspire des principes de la philosophie chinoise millénaire pour aborder l’univers de la parfumerie haut de gamme.
Fondée sur les flux d’énergie qui régissent le cosmos et l’équilibre de l’homme, l’approche de cette marque qui prône l’harmonie comme source de beauté, s’appuie sur les cinq éléments : terre, bois, eau, feu et métal, combinés aux polarités du Yin et du Yang.
C’est au parfumeur Guillaume Flavigny qu’a été confiée la création de cette première collection de dix fragrances, traitant chacune les cinq éléments sous leurs deux aspects (Yin et Yang ).
Composés dans les plus belles matières naturelles et dans le respect de l’environnement, parfums et bougies parfumées sont fabriqués et emballés avec le plus haut niveau d’exigence : approvisionnements éthiques, flacons rechargeables, emballages recyclables, bougies fabriquées à base de cire végétale.

Une approche olfactive inédite
The Harmonist invite ses clients à découvrir leur harmonie personnelle au cours d’une recommandation olfactive sur-mesure. Ce parcours commence en donnant vos noms, date, heure et lieu de naissance afin de déterminer quel est votre élément dominant et sa polarité Yin ou Yang.
Il est entièrement réalisé dans la boutique de Paris et dans celle de Los Angeles. Un véritable moment privilégié qui permet d’orienter chaque client vers une fragrance adaptée à sa personnalité comme à ses besoins ou aspirations.
The Harmonist utilise les huiles essentielles les plus rares pour insuffler une incomparable énergie aux fragrances, élixirs précieux qui insufflent un équilibre subtil entre prospérité, sagesse, convivialité, créativité, séduction et statut.
Sur leur sillage : l’Harmonie, véritable source de beauté.

En cohérence avec la philosophie de la marque, les deux boutiques de Paris et Los Angeles ont été aménagées suivant les principes du Feng Shui conjuguant art de vivre à la française et culture asiatique ancestrale.

Lola Karimova-Tillyaeva, inspiratrice de la marque

Née en 1978 à Tashkent, capitale de l’Ouzbékistan, Lola Karimova-Tillyaeva est diplômée en Droit International de l’université d’économie internationale et de diplomatie de Tashkent, elle est également titulaire d’un doctorat de psychologie de l’université d’état de Tashkent.
Lola Karimova-Tillyeva est mariée à l’homme d’affaires Timur Tillyaev. Ils ont trois enfants : deux filles et un fils.
Philanthrope très engagée, elle est à la tête de trois fondations caritatives en faveur des enfants en Ouzbékistan.
Ambassadrice de son pays à l’UNESCO, Lola Karimova-Tillyaeva soutient et défend principalement l’héritage culturel de l’Ouzbékistan pour le remettre sur le devant de la scène.
Lola Karimova-Tillyaeva est l’inspiratrice de la maison de parfums The Harmonist.
Très engagée en faveur de l’écologie et de la préservation des ressources naturelles dont dépend l’avenir des jeunes générations, elle a orienté The Harmonist vers des choix éthiques.
Dans cette optique, The Harmonist est à l’origine de projets artistiques d’avant-garde, liés à ces préoccupations environnementales à l’exemple de « The Droplet ».
De même, la marque soutient en permanence des projets éducatifs à l’image du programme ARTWORX-LA, dont certains élèves ont été invités à participer à « The Droplet ».

artworxLA

Basé à Los Angeles, artworxLA combat l’échec scolaire de plus en plus fréquent dans le secondaire en offrant aux étudiants la possibilité de s’engager dans un programme d’enseignement artistique à long-terme qui leur permet de ne pas s’exclure du système scolaire, de s’exprimer et de s’épanouir en tant qu’individus.

Les organisateurs de « The Droplet » ont fait une donation à artworxLA pour soutenir un cursus d’ateliers pendant 10 semaines. Ce programme s’étend sur une année et sera animé par des artistes enseignants professionnels.

Extrêmement soucieux de l’importance de l’eau pour notre planète, les étudiants de artworxLA prennent part au projet « The Droplet », rejoignant ainsi les voix des jeunes générations, de plus en plus nombreuses à nous alerter sur le futur de la planète et l’avenir de leurs enfants.

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