Bienvenue au DROMe club, le club par excellence où se retrouvent esthètes, nouveaux bohémiens et poètes de la nuit. Une atmosphère underground, intemporelle et mystérieuse habite cette scène. Une danseuse évolue parmi des miroirs, deux artistes se poursuivent dans la lumière de lampes fluorescentes et, en fond sonore, l’écho des chansons de David Bowie. Tel est le décor dans lequel s’aventureront les DROMe girls lors de la prochaine saison hivernale. Une esthétique d’une élégance affirmée et contemporaine parcourt cette collection. Tout comme les photographies de Deborah Tuberville, oscillant entre féerie et décadence, parfois dérangeantes aussi, Marianna Rosati, la créatrice de cette collection, apporte une vision différente de la femme, laissant entrevoir un moment intime du monde féminin, l’immortalisant à jamais.
Affirmée et incisive, la silhouette est aérodynamique, volumineuse en haut et plus près du corps en bas. Et vice versa. La lumière est mise sur des pièces outerwear aux manches extra longues ou extra larges, associés à des vêtements ultra légers pratiquement impalpables, dans un jeu de références où les formes sont coupées, ouvertes, retournées, doublées et en évolution. Les éléments récurrents sont la texture et la consistance, différentes longueurs et largeurs, plusieurs constructions et solutions. Un soupçon de romantisme tribal apparaît de-ci de-là dans le cuir par le biais d’une enfilade de fronces rigides, tandis que des détails élastiqués mettent en exergue les lignes oversize des vestes chemises et des trenchs.
Les manches des trenchs font écho aux années 40 de par leur forme d’un style nouveau, elles deviennent ainsi plus féminines grâce aux surfaces plissées. Des épaules à effet tombant et des manches dotées de franges en cuir verni extrêmement longues caractérisent le nouveau bomber. Des cols resserrés, rappelant ceux des chemises des écolières, encadrent le visage. Cette rigueur crée un contraste fort avec les pantalons palazzo ou à pattes d’éléphant extra-larges.
Une sensualité retrouvée, très film noir, imprègne les maillots en cuir et les combinaisons en daim stretch, elle s’accompagne d’une pointe de romantisme et d’une attitude révolutionnaire.
Le style affirmé des solaires DROMe se décline en cinq modèles exclusifs fabriqués en acétate et en cuir métallisé. Le modèle « skyfall » pratique et aérodynamique dont la forme « masque » rappelle les années 80. Le modèle « yeux de chat », au look vintage années 70, donne l’impression de deux paires de lunettes superposées, l’une de forme rectangulaire, l’autre de forme ovale, fixées l’une à l’autre et laissant de l’espace pour des gravures de cuir et des inserts.
Des chaussures sont également nécessaires pour danser jusqu’au bout de la nuit au DROMe club. Deux styles : le premier, des bottines plates, en cuir verni et couleur jaune d’œuf avec bandes élastiques et crochets, dans un mélange de cuir nappa verni et stretch. Le deuxième style est une bottine haute à talon cylindrique, disponible en cuir verni ou métallisé.
Couleurs.
Blanc, rose poudré, nuit, noir, bleu canard, rouge vif, jaune éclatant.
Matières.
Cuir nappa, daim, cuir nappa ultra fin, cuir couleur jaune d’œuf ultra fin, cuir verni, cuir nappa métal craquelé, peau de mouton perforée et teintée, « Moondream » – cuir nappa peint à la main, cuir nappa à rayures métalliques, poils de veau à pois, poils de veau à rayures irrégulières, poils de veau à effet optique léopard.