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Faisant écho aux créations fondatrices de la Maison, un florilège de motifs floraux s’épanouit sur des broderies lumineuses, des bouquets de cristaux scintillants, des gerbes de couleurs délicates, des aigrettes de paillettes plumeuses, des gouttelettes de perles brillantes, des baies mattes et charnues, pour mieux sublimer les coupes modernes de tenues élégantes et aériennes. Parfois, un motif nid d’abeille – creusé en panneau de dentelle ou directement structuré à-même le tulle – atteste le savoir-faire suprême des ateliers maisons et sublime la noblesse d’une longue silhouette évanescente. La fluidité des capes-traînes exalte la féminité absolue de sculpturales robes fourreaux tandis que les corolles d’une jupe confèrent à un ensemble-tailleur l’espièglerie d’un bouquet en pleine éclosion. Véritable travail d’orfèvre, les accessoires traduisent ces accents bucoliques sur des petits sacs ouvragés ou des bijoux chatoyants somptueusement émaillés.
Subtile, la palette de couleur gagnent en intensité au contact des matières : un tulle rosé voile de mystère une mousseline vert amande, un dégradé de parme veloute de chaleur le chatoiement d’un bleu glacé, un camaïeu de pêches, d’abricots, de mandarines et de melons illumine une symphonie chromatique gourmande et fruitée, tandis que la crêpe de soie, la ziberline, la dentelle et l’organza traduisent avec somptuosité le message d’espoir et le secret caché derrière cette printanière floraison.
Respirant la joie de vivre et la gaieté, la collection Couture Georges Hobeika Printemps-Eté 2016 compose au travers de la « Cirse des champs », un hommage appuyé à la nature bienfaisante qui se régénère pour mieux disséminer et répandre son message de beauté par delà les cultures et les frontières.
Faisant écho aux créations fondatrices de la Maison, un florilège de motifs floraux s’épanouit sur des broderies lumineuses, des bouquets de cristaux scintillants, des gerbes de couleurs délicates, des aigrettes de paillettes plumeuses, des gouttelettes de perles brillantes, des baies mattes et charnues, pour mieux sublimer les coupes modernes de tenues élégantes et aériennes. Parfois, un motif nid d’abeille – creusé en panneau de dentelle ou directement structuré à-même le tulle – atteste le savoir-faire suprême des ateliers maisons et sublime la noblesse d’une longue silhouette évanescente. La fluidité des capes-traînes exalte la féminité absolue de sculpturales robes fourreaux tandis que les corolles d’une jupe confèrent à un ensemble-tailleur l’espièglerie d’un bouquet en pleine éclosion. Véritable travail d’orfèvre, les accessoires traduisent ces accents bucoliques sur des petits sacs ouvragés ou des bijoux chatoyants somptueusement émaillés.
Subtile, la palette de couleur gagnent en intensité au contact des matières : un tulle rosé voile de mystère une mousseline vert amande, un dégradé de parme veloute de chaleur le chatoiement d’un bleu glacé, un camaïeu de pêches, d’abricots, de mandarines et de melons illumine une symphonie chromatique gourmande et fruitée, tandis que la crêpe de soie, la ziberline, la dentelle et l’organza traduisent avec somptuosité le message d’espoir et le secret caché derrière cette printanière floraison.