La Grande Épicerie de Paris, référence en matière d’expérience gourmande, lance la marque La Grande Epicerie de Paris
et s’invite sur toutes les tables dès le mois de janvier 2016.
Forte de son expertise dans la sélection de produits d’épicerie français et internationaux, La Grande Épicerie de Paris poursuit tout naturellement son ambition en créant sa propre marque. Un projet qui s’est imposé comme une évidence.
La marque est née de la rencontre entre le savoir-faire de sélectionneur de La Grande Epicerie de Paris et celui des meilleurs artisans producteurs du patrimoine gastronomique français et international.
Positionnés au juste prix compte tenu de leurs qualités exceptionnelles, les produits de la marque La Grande Epicerie de Paris sont issus des meilleurs terroirs, des recettes des artisans les plus talentueux.
Les experts de La Grande Epicerie de Paris ont ainsi conçu une gamme de produits salés, sucrés, frais et de luxe qui se dégustent à tout instant, sans attendre
les grandes occasions pour se régaler.
Testés lors de nombreux comités de dégustation, recettes validées en étroite collaboration avec les artisans, huiles ou vinaigres, confitures ou biscuits, conserves fines, beurres de baratte, friandises salées ou sucrées rejoignent progressivement les rayons de La Grande Epicerie de Paris.
Au total : 370 références aujourd’hui, 350 en mars valorisant les régions françaises et plus de 1000 à l’été prochain s’étoffant de spécialités internationales.
A déguster avec gourmandise et sans modération.
Pour bien démarrer la journée, La Grande Epicerie de Paris varie les plaisirs avec 24 confitures, la plupart ayant droit à l’appellation « préparations de fruit » car elles excèdent les 60% de pulpe. La Grande Epicerie de Paris fait la part belle au fruit français en provenance des meilleurs terroirs – qu’il soit classique (abricot, cassis, rhubarbe, myrtille, framboise, etc.) ou plus romantique (mirabelle lorraine à la pleine saison tellement éphémère ou pêche de vigne).
Au rayon des biscuits sucrés, une soixantaine de spécialités ont été conçues dans les règles de l’art, avec les artisans biscuitiers les plus talentueux sélectionnés aux quatre coins de France. Galettes fines bretonnes, nonnettes de Dijon, ou canistrelli corses (nature, à l’anis, à la clémentine, ou incrustés de délicieuses noisettes), issus d’une recette familiale côtoient les pains d’épices qui se déclinent au miel de Bourgogne, aux figues ou au caramel au beurre salé.
Les jus de fruit sont préparés par une spécialiste venue de l’univers du vin, qui privilégie les circuits courts auprès de petits producteurs : cassis bourguignon (le même que celui d’un bon kir), framboise d’Aquitaine, etc.
Du côté des boissons chaudes, 12 thés certifiés bio sont disponibles en vrac ou en sachet. Parmi eux, un mélange exclusif mêle cardamome, pétales de souci et caramel. Des arabicas aux origines «bien serrées» feront bientôt leur apparition, eux aussi issus de l’agriculture biologique.
La cuisine de tous les jours possède en n sa gamme de condiments et assaisonnements aux arômes délicats parmi lesquels une dizaine d’huiles d’olive que
Les équipes de La Grande Epicerie de Paris ont voulu toutes françaises : cinq AOP typiques (Nyons, Baux de Provence, Haute-Provence, Aix-en-Provence, Corse), et cinq variétales au caractère plus affirmé (Picholine, Lucques, Bouteillan, Aglandau, Olivière).
On pourra les combiner à des vinaigres de cépages, de cidre normand, de framboise, de vin rouge élevé douze mois en fût de chêne.
Une petite anthologie des moutardes de régions comprend l’indispensable graine de Dijon, mais aussi des préparations à la catalane (anchois et poi- vrons) à la limousine (vin rouge) ou basque (piment d’Espelette).
Cette famille des assaisonnements compte aussi les sauces froides (béarnaise, aïoli, tartare, cocktail, etc.) et est destinée à s’élargir dans les prochains mois avec notamment les sels de terroir (Ré, Noirmoutier, Béarn, Gruissan) disponibles dès le mois de mars 2016.
La Grande Epicerie de Paris propose un bel assortiment de beurres de baratte au lait cru de terroir. Riches en goût, ils s’agrémentent de paillettes de sel qui crissent sous la dent, d’un mélange d’algues ou de piment d’Espelette.
Côté sucré, les miels sont issus du savoir-faire d’une lignée ancestrale d’apiculteurs qui pratiquent encore la transhumance nocturne, afin de ne pas perturber leurs ouvrières pour des miels de grande qualité : eurs de montagne, châtaignier, et étonnantes préparations aux épices, idéales pour laquer poissons ou viandes.
À tartiner ou à pâtisser, trois recettes font saliver : le caramel au beurre salé (au naturel, vanillé, café, ou piment d’Espelette), la pâte au chocolat noir et la con ture de lait au rhum.
Les terroirs maritimes inspirent les experts de La Grande Epicerie de Paris, qui y pêchent une infinité de délices d’initiés auprès des producteurs les plus attentifs au produit. Les rillettes, venues de l’Île de Groix, sont au bar de ligne ou aux ormeaux d’éle- vage récoltés à point, encore petits, tendres et pleins de goût.
Les sardines millésimées se bonifient comme de grands vins : après une cuisson à l’huile d’olive, et un conditionnement immédiat afin de préserver leur intégrité aromatique, elles s’affineront pendant dix, quinze ans.
Produites dans la seule conserverie de Concarneau, les conserves de poisson sont préparées à partir des pêches des 9 derniers bolincheurs de la ville et mises en boîte à la main. Une collection composée de sardinettes à l’huile d’olive et piment d’Espe- lette, de lets de maquereau nature, à la moutarde à l’ancienne ou muscadet, ou encore de ventrèche de thon blanc germon. Une bonne soupe de poissons, ou une bisque de homard au kari gosse, le mélange d’épices qu’on trouve seulement dans les herboristeries de Lorient, sont aussi les bienvenues pour dépanner les soirs de paresse.
Il faudrait encore citer les poissons fumés, truites françaises ou saumons bien charnus en provenance de Norvège, d’Écosse ou des Iles Féroés, de pleine mer ou d’élevages bio. Salés au sel sec et tranchés à la main en suivant minutieusement le tracé des chevrons, pourquoi attendre les fêtes pour se délecter de ces plaisirs de la mer ?
Variété et terroir ont été les mots d’ordre de La Grande Epicerie de Paris dans la sélection des producteurs et des recettes, comme avec les sau- cisses sèches de porc fermier français, droites ou courbes, légèrement fumées, extra-maigres, au foie, à l’anis et au fenouil, ou au poivre vert. Mais aussi les nombreux biscuits apéritifs, originaires du Berry ou encore d’Ardèche, au thym, au parmesan, au crottin de chavignol, aux tomates marinées, ou les sablés au fenouil, aux olives, au romarin…
Côté sucreries, l’attention a été portée sur des spécialités délicieusement régressives réalisées par des con seurs con dentiels : on remplira son sachet boulanger de praslines de Montargis (une amande torré ée et nappée de chocolat noir, au lait, ou au thé), de nougats de Montélimar (tendres, durs, ou noirs de Provence), de guimauves à l’ancienne, frui- ées, à la fois fondantes et consistantes, ou encore de délicieux caramels mous au beurre salé et sésame. La Grande Epicerie de Paris prépare aussi une ligne de tablettes de chocolat pure origine, aux saveurs distinctement séquencées par provenance.
Parce que chaque jour est une fête, La Grande Epicerie de Paris propose une gamme de prestige, pourvue de caviars Osciètre ou Baeri, ou encore de truffes noires brossées premier choix. Le précieux champignon se démocratise également de mille façons : les pelures de truffe noire idéales à jeter dans une brouillade ou un risotto, l’huile de tourne- sol à la truffe (blanche d’été, ou tuber melanos- porum), la mayonnaise à la truffe noire 3% pour relever des œufs mimosa, la moutarde, le miel, les graines apéritives (macadamia, cacahuètes, amandes grillées)…
Les foies gras mi-cuits s’invitent également au festin de La Grande Epicerie de Paris. Les canards IGP Sud- Ouest proviennent de l’une des dernières fermes maitrisant encore l’intégralité du cycle d’élevage, pour une production qui assume son tempérament et exprime la main de l’artisan.
Des centaines de saveurs à découvrir, à déguster ou à offrir dès maintenant à La Grande Épicerie de Paris et sur le site : lagrandeepicerie.com/marques/la-grande-epicerie-de-paris
Domaine des achats compulsifs, canailles et enfan- tins, les con series et charcuteries n’obéissent pas aux rites du repas, leur place est dans les petits creux de la journée.
PETITS-DÉJEUNERS EN DOUCEURS
Le Thé Bio «Notre mélange» (mélange spécial Grande Epicerie) thé noir de Chine, caramel, cardamome, pétales de souci, 100g, 12€ Les biscuits canistrellis aux noisettes, 200g, 4,85€
La préparation de fruits L’Abricot du Languedoc-Roussillon, 300g, 4,80€ Le miel d’acacia, 350g, 12,50€
Les galettes nes bretonnes, 150g, 3,90€
LIAISONS ASSAISONNÉES
La moutarde à la crème de cassis, 90g, 1,90€
L’huile d’olive vierge extra, Appellation d’Origine Protégée Nyons, 500ml, 19,90€
Le vinaigre de vin rouge, vieilli 12 mois en fûts de chêne, 250ml, 3,90€
A TARTINER, OU A CUISINER
Le beurre cru croquant de baratte, à la eur de sel de Noirmoutier, 125g, 2,50€ Le beurre aux algues de baratte, 125g, 4,20€
Le beurre au piment d’Espelette de baratte, 125g, 4,20€
CONSERVERIE FINE ET SAURISSERIE
Les sardines de Bretagne millésime 2015, à l’huile d’olive vierge extra, 115g, 7,50€
Les rillettes aux ormeaux, 100g, 9,90€
FRIANDISES SALEES … OU SUCREES
La saucisse sèche de foie courbe, 250g, 7,70€
Les sablés au crottin de Chavignol et noisette, 110g, 6,80€
FESTINS IMPROVISÉS
Le foie gras de canard entier mi-cuit, IGP Sud-Ouest, 130g, 26€
La mayonnaise à la truffe noire 3% (Tuber melanosporum), 180g, 12,80€ Les truffes brossées 1er choix, 12,5g, 40€