Nul n’est censé ignorer la sortie du dernier James Bond. Pour cet épisode graphiquement très réussi réalisé par Sam Mendes, James affronte un ennemi extrêmement puissant le Spectre. Il avait donc besoin de renforts.
Quelques jours avant la sortie officielle, je reçois une missive quelque peut bizarre, m’invitant à me rendre à ma boite aux lettres.
Je découvre alors caché sous ma boite au lettre, une lettre de mission de la plus haute importance ainsi que mon passeport pour la mission.
Je serais donc l’agent Ixon et je devrais donc protéger le lancement de la nouvelle Omega comme l’indiquait mon message codé décrypté sur mon téléphone.
Rendez vous été pris quelques jours plus tard. Une jaguar passe me prendre devant ma cache pour m’emmener dans un lieu secret. Il s’agit de l’Automobile Club de France et nous allons assister à une projection en avant première du nouveau James Bond : Spectre.
J’ai pris un malin plaisir à me mettre dans la peau d’un agent spécial pendant ces quelques jours, je remercie donc Omega pour ce moment magique.
Mais Omega et James bond c’est une longue histoire d’amour ! C’est la costumière Lindy Hemming, récompensée aux Oscars, qui est à l’origine de la rencontre entre Omega et l’agent 007 dans GoldenEye. « J’étais convaincue que le Commandant Bond, gentleman feutré issu des rangs de la marine britannique, était fait pour porter la Seamaster avec le cadran bleu », a-t-elle confié. Ce n’est pas OMEGA qui dira le contraire. S’en suit des années de fructueuse collaboration entre la franchise et la marque dont vous trouverez tous les détails ici : http://www.omegawatches.com/fr/planet-omega/cinema/james-bond/
Pour l’heure, nous célébrons le modèle OMEGA Seamaster 300 qui apparaît dans SPECTRE. C’est une version réactualisée du grand classique lancé par OMEGA en 1957. Dotée d’un design intemporel inspiré du modèle originel, cette montre est pourvue d’un calibre OMEGA Co-Axial 8400 résistant aux champs magnétiques de 15 000 gauss. La montre possède un superbe cadran noir agrémenté d’un élément rare, une aiguille centrale des secondes « lollipop ». À l’image de la Seamaster 300 originelle, ce modèle est doté d’une aiguille des heures en forme de large flèche et d’index triangulaires en creux.