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Le Printemps de l’Optimisme

by pascal iakovou
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photo P BlochThierry Saussez mobilise toutes les forces positives de France en organisant Le Printemps de l’Optimisme, les 16 et 17 mai 2014, à Paris, au Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE), place d’Iéna à Paris.

Il s’agit de la première édition du Forum de l’Optimisme, ouvert aux entreprises, aux institutions et au grand public (entrée libre)

Philippe Bloch présentera et dédicacera son livre dans la librairie la plus optimiste de France créée pour l’événement!

Philippe Bloch décrypte dans « Ne me dites plus jamais bon courage » les peurs et les blocages que révèlent douze phrases et expressions couramment utilisées en France. Avec humour et bienveillance, il se livre à une analyse critique des Français et des challenges qu’ils pourraient relever.

Plutôt que d’appeler à « l’indignation » stérile et frustrante, cet incorrigible optimiste appelle au réveil, à l’action et à l’enthousiasme. Il invite ses lecteurs à retrouver l’envie d’avoir envie à faire des projets, à rêver grand, à ne plus s’accrocher à un passé révolu. Il les invite avant tout à rejoindre le camp des optimistes et des enthousiastes.

Dis-moi comment tu t’exprimes, et je te dirai qui tu es. Laisse-moi découvrir tes expressions, adjectifs et mots préférés, et je te dirai quel est ton état d’esprit. Au bureau, en ville, en société, nos expressions sont le reflet de notre époque. Or, les Français sont tristes, et cela s’entend. Sans même s’en rendre compte, ils contribuent à force d’expressions pessimistes à se miner collective- ment le moral et à s’enfoncer un peu plus dans une inquiétante dépression généralisée. Ils ont peur que l’avenir soit pire que le présent, et cela saute aux oreilles. Ils manquent de projets, et cela les condamne au déclin.`

Avec des expressions telles que « pourvu qu’il ne m’arrive rien », « ça ne marchera jamais », « le problème, c’est que… », « vivement la retraite », « dans CE pays… », « c’était mieux avant », « on a toujours fait comme ça », « un petit café et une petite cigarette » et autres « bon courage » du matin, nous participons tous à une spirale infernale à laquelle il est urgent de mettre un terme.

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