Quelques jours à peine après la Fashion week, chacun ressent de manière encore plus prégnante, l’envie de parer son corps de manière surprenante. Textiles, matières délicates et voluptueuses sont évidemment présentes à l’esprit et, paradoxalement le désir de l’envelopper de flagrance exquise peut également apparaitre. Dolce & Gabbana par leur créativité facilitent le passage à l’acte. Leur dernière gamme, tout à l’exaltation des saveurs méditerranéennes permet de s’octroyer des plaisirs inattendus en cette saison. La Sicile, baignée de soleil, terre des paradoxes entre modernité et tradition, parait émerger de cette effluve et offrir sa quintessence de senteurs.
Mise en lumière par un texte de Maupassant, Voyage en Sicile, 1885, l’île incarne une alliance atypique de parfums, et est décrite tel un Musée d’Architecture. Nul doute Domenico Dolce et Stefano Gabbana vivent l’historicité et l’universalité du lieu. Il leurs inspirent des sentiments, des sensations. Passion, Amour, liberté et autres influent sur leur créativité.
Deux flagrances existent, nuancées, subtilement diverses à l’instar d’un homme et d’une femme. Deux nouvelles propositions destinées à devenir les classiques de Dolce & Gabbana. La version toute masculine se réfère à l’idéal masculin italien, délicate alliance de force, d’élégance, d’attraction animale.
Le parfum encapsule des accents de néroli avec des pointes acidulées de mandarine, de la bergamote. Quelques notes poivrées, de bois de cèdre, et de tabac parachèvent sa structure.
La version féminine, redéfinie, est une ode à la femme italienne. Entre force et délicatesse, et avec une animale sensualité, l’idée d’une femme libre et intrépide émerge. Iconique, elle captive les regards.
Noah Mills et Laetitia Casta incarnent respectivement les deux versions. Mario Testino a capturé parfaitement les référents de la marque. Cette Italie idéale reflète les années 50, les mélodies chaloupées de Mina, la Dolce Vità.
1 comment
C’est Mina qui me plait…quoique ses meilleures années sont celles des années 80/90. On trouve du Mina pour tous les goûts tant son pannel de chansons est vaste…
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