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Paco Rabanne par Manish Arora a été un des sommets de cette fashion week. Une collection étincelante et respectueuses des valeurs fondatrices de la maison : une transposition de l’univers de Paco Rabanne dans le monde d’aujourd’hui. Audace maîtrisée, élégance exubérante, architecture et assemblage.
L’image de Françoise Hardy au début des années 70 imprègne cette collection. Une beauté troublante, une féminité décomplexée et hors des clichés. La silhouette Paco Rabanne 2012 est nette, aiguisée. Ses contours graphiques sont fluides et en mouvement perpétuel. Les manches kimonos et les vestes travaillées comme des armures souples sont des signatures fortes de la saison. Le passé de la maison est remis au goût du jour, revisité, retravaillé, et parfois laissé intacte comme cette mini robe métallique dessinée en 1969 et portée par Brigitte Bardot dans un célèbre cliché de David Bailey qui est rééditée en version originale.
Pour les couleur : or, argent répondent aux blancs, cendres et noirs.
Paco Rabanne par Manish Arora a été un des sommets de cette fashion week. Une collection étincelante et respectueuses des valeurs fondatrices de la maison : une transposition de l’univers de Paco Rabanne dans le monde d’aujourd’hui. Audace maîtrisée, élégance exubérante, architecture et assemblage.
L’image de Françoise Hardy au début des années 70 imprègne cette collection. Une beauté troublante, une féminité décomplexée et hors des clichés. La silhouette Paco Rabanne 2012 est nette, aiguisée. Ses contours graphiques sont fluides et en mouvement perpétuel. Les manches kimonos et les vestes travaillées comme des armures souples sont des signatures fortes de la saison. Le passé de la maison est remis au goût du jour, revisité, retravaillé, et parfois laissé intacte comme cette mini robe métallique dessinée en 1969 et portée par Brigitte Bardot dans un célèbre cliché de David Bailey qui est rééditée en version originale.
Pour les couleur : or, argent répondent aux blancs, cendres et noirs.