Home Mode Nouvelle campagne pour la marque C’N’C, ligne jeune de CoSTUME NATIONAL.

Nouvelle campagne pour la marque C’N’C, ligne jeune de CoSTUME NATIONAL.

by pascal iakovou
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C’N’C est une marque urbaine et jeune, dotée d’une vraie culture digitale.


En 2008, la marque présentait une campagne publicitaire dédiée à la génération Myspace avec un casting via les réseaux sociaux. Toujours dans cet élan de modernité, C’N’C s’est incarnée avec des égéries tels que Lizzy Jagger, Jethro Cave, Abraham Belaga ou Pixie Geldof.
Pour cette saison Printemps Eté 2012, la marque continue d’explorer la web generation à travers un univers où l’image est utilisée, adoptée, déformée, déstructurée, rebloggée, accumulée, réinterprétée…
Une surexploitation d’images avec la plateforme Tumblr comme clef de voûte.
Tumblr est une plateforme de «microblogging» qui autorise ses membres à poster des textes, images, liens, citations ou séquences audio que d’autres membres peuvent «reblogger».
Tumblr c’est le règne compulsif de l’image, l’une des plate-forme où émergent les grandes tendances visuelles : la photographie analogique, les gifs animés, les classifications par couleurs, la food photographie, le culte du mauvais goût…pour ne citer qu’eux. Dans ce monde de liberté absolue, un nouveau type d’images corrompues apparait et inaugure les prémisses d’une esthétique du chaos digital. •
Cette nouvelle campagne C’N’C s’inspire de cette fascinante expérience visuelle à travers sa campagne presse, son Tumblr et ses vidéos. Le visage de cette saison est la jeune comédienne Jeanne Damas, nouvelle lolita adoubée des photographes et des magazines de mode,dont la notoriété est née au coeur de la blogosphère.

“ Le blog est un espace absolu de dialogue et d’intéraction. C’est une porte ouverte vers de nombreux projets, tendances et idées. C’N’C CoSTUME NATIONAL est toujours à l’affut de personnes créatives, stylistes, photographes et jeunes designers. La blogosphère est un espace idéal pour rencontrer ces talents, partager avec eux ses intuitions et ses rêves.”
Ennio Capasa

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