Une année bouleversante pour le monde de la finance et celui de la mode… : Une des plus graves crise financière bouleverse l’un, la disparition d’Yves Saint Laurent bouleverse l’autre. Deux mondes liés et en même temps opposés. Le cynisme du premier donnant les moyens au second d’entraîner des millions d’individus au pays de la beauté, de l’élégance, du rêve…
L’année 2008 c’est aussi l’année de la création de la société JCLM Valérian Couture : étape symbolique à l’aube de ses quarante ans pour le talentueux couturier.
Symbolique car après de nombreuses années de partage d’expériences aux côtés des plus grands couturiers (Dris Van Noten, Tom Ford / Yves Saint Laurent, Christian Lacroix et Paco Rabanne) à raison de trois saisons chez chacun, Valérian Hughes va pouvoir développer ses propres collections, tel l’apprenti à l’issue de son « tour de France » devenant compagnon.
C’est en « artisan du beau » qu’il va désormais se consacrer à mettre en pratique, sous sa propre griffe ce conseil transmis par son « maître » Yves Saint Laurent « jeune homme, votre devoir est de mettre en valeur l’élégance naturelle de votre cliente ». Il créé ainsi une mode intemporelle pour une femme qui évolue harmonieusement dans une société en perpétuel mouvement, conjuguant l’élégance avec la sensualité et l’indépendance.
Une mode inspirée par ce qui l’entoure, influencée par ses origines afros-caraïbéennes et les musiques de son enfance dont on retrouve le rythme dans les mouvements et la fluidité des tissus.